« Casse toi mon pote »
C'est promis, il ne se représentera pas.
Ce que tout le monde savait déjà, la technique étant désormais bien connue : laisse filtrer dans la presse les points essentiels du message à venir, de manière à atténuer d'éventuels chocs et préparer l'opinion.
Donc après 12 ans, dont 5 marqués par la cohabitation mais 7 durant lesquels le RPR - puis l'UMP - aura bénéficié de tous les pouvoirs, il était temps de tourner la page et de faire le bilan de l'action présidentielle :
- sur le plan extérieur, la France est considérablement affaiblie, décrédibilisée, malgré la posture employée lors de la guerre d'Irak
- sur le plan intérieur, la situation n'est pas meilleure : chomage, insécurité, dettes..
- sur le plan extérieur, la France est considérablement affaiblie, décrédibilisée, malgré la posture employée lors de la guerre d'Irak
- sur le plan intérieur, la situation n'est pas meilleure : chomage, insécurité, dettes..
Mais voilà que Ben-Chirak, dans un dernier sursaut, tente de prévenir le bon peuple du danger le plus inquiétant qui le guette : l'extrémisme, sous-entendu, Le Pen ! Mais est-ce vraiment Le Pen qui est au pouvoir depuis toutes ces années ? Est-ce vraiment Le Pen qui a ruiné les ménages, ou brulé des voitures ?
Décidemment, cet homme ne fut bon que pour une seule chose : la politique politicienne, celle qui n'a comme but que de faire élire ou réélire, pour se maintenir au pouvoir.
Sarkozy est le digne successeur de Ben-Chirak sur ce point : une girouette, sans conviction, qui s'agite, comme Ben-Chirak le fit avant de se faire élire Président. Moment à partir duquel il se retira du combat politique pour trôner, irresponsable et inattaquable, gaspillant ses Premiers Ministres (ses fusibles) qui n'avaient d'ailleurs aucune légitimité pour gouverner.
Sarkozy est le digne successeur de Ben-Chirak sur ce point : une girouette, sans conviction, qui s'agite, comme Ben-Chirak le fit avant de se faire élire Président. Moment à partir duquel il se retira du combat politique pour trôner, irresponsable et inattaquable, gaspillant ses Premiers Ministres (ses fusibles) qui n'avaient d'ailleurs aucune légitimité pour gouverner.
La presse étrangère, moins prisonnière du politiquement correct, moque unaniment ce départ. Je me joins donc à elle pour lui signifier chaleureusement, avec une tappe sur les fesses telle une vache du salon de l'agriculture : « Allez, casse toi mon pote »
